Rubrique à brac

L’art de raconter n'importe quoi mais sérieusement sur un sujet parfaitement farfelu.
En 1968, dans les pages de l'hebdomadaire Pilote, Marcel Gotlib lançait la première Rubrique à Brac et révolutionnait du même coup la bande dessinée, l'humour et la vie des coccinelles. 40 ans plus tard, quelques-uns des plus célèbres compères et fils spirituels du maître, de Binet à Larcenet et Ferri, de Boucq à Zep, en passant par Antoine de Caunes, Guarnido, ou encore Edika se lancent eux aussi dans cette ‘’pratique’’, sous la supervision du Maître.

À l’inverse le critique de cinéma est un spécialiste qui porte un jugement sur un film qu’il analyse avant d’exprimer son commentaire. Cela suppose donc qu’il s’exprime en fonction de données empiriques et techniques liées à sa formation. Pour n’en être pas moins un homme, il est aussi, un peu influencé par sa subjectivité.

Nous voici donc au cœur du sujet de ce billet.

Plusieurs personnes m’ont gentiment interpelé sur la présente rubrique cinéma, pensant que ma passion pour le septième art me permettait d’émettre un avis éclairé sur les films visionnés et parfois elles sont surprises de ma bienveillance ou de l’absence d’avis sur un film.

Je précise donc que je ne suis pas un critique au sens littéral du terme puisque je n’ai pas fait d’études cinématographiques. De plus je ne donne pas mon opinion (avis donné sur ce que l’on pense d’un sujet) sur un film que je n’aurai pas aimé ou que je considère "personnellement" réservé à un public de cinéphile averti.

Mon objectif est de vous faire partager mon opinion et de vous aider à faire votre choix, c’est pourquoi, je termine chaque avis sur un film, par l’opinion des gens, c’est-à-dire l’avis des spécialistes de la presse et des spectateurs qui sont parfois en symbiose, parfois divergents.

N’hésitez donc pas à émettre votre propre opinion pour que j’améliore cette rubrique. C’est grâce à cela que j’ai rajouté, les opinions des gens, la nationalité du film et le genre et je vous en remercie.

En majorité je visualise des films tout publics et quelques films plus intimistes que l’on ne voit pas, ou peu, dans les grandes salles. Il y en a aussi que je n’ai pas vu parce que la production hebdomadaire est foisonnante et c’est tant mieux pour le cinéma.

Ceci étant, je recommande les « Rubrique à Brac » toujours disponibles dans les librairies.

Fabulgone