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Le chat qui cherchait l'Utopie
Toute première fable
J'ai retrouvé la toute première fable que j'avais écrite en juin 2006. Je commençais d'avoir un lectorat privé qui me demandait d'écrire des historiettes et viennoiseries souriantes (j'habitais alors à Vienne et travaillais à Lyon). Toutes mes histoires, je les écrivais sur des calepins, pendant mon trajet en train Vienne-Lyon. Voici donc le préambule à mes écritures qui n'ont jamais cessées depuis.
Le Chat qui rêvait d’Utopie
À vouloir rêver d’un monde trop parfait,
Crois-tu donc mon ami qu’il pourrait t’héberger !
Cesse donc de vouloir tout faire évoluer.
Mène ta vie en sage, tu le verras moins laid.
Un chat se promenant surprit un malandrin,
Qui tentait de forcer l’échoppe d’un boutiquier.
Il aurait du bien sûr héler les argousins
Et pas par la parole, jouer les justiciers.
Se sentant investi d’une âme de Don Quichotte,
Il tenta de convaincre, coquin par la parlotte.
Écoutant le matou, ce roi de la barbote,
Lui vola son argent, lui prit même ses bottes.
La leçon aurait du, suffire à gai minou,
Qui poursuivi sa quête, jouant les casse-cous.
Un litige opposait, un manant au seigneur.
Le bon sire refusait de dire qu’il avait tort,
Arguant que par son rang, il était le plus fort.
Le chat se mit en tête de les mettre d’accord.
Dire que la morale du loup et de l’agneau,
Aurait pu lui suffire, c’aurait été trop beau
Il défendit le faible, se mit le roi à dos
Notre chat tout l’été croupit dans un cachot.
Il comprit que les mots pour justice c’est zéro
Et que c’est qu’au cinoche que gagne l’ami Zorro
Il se contenta donc, d’amuser la galerie
Pour pouvoir dire enfin : qu’elle est belle la vie !
Trempe, trempe ta plume oh, joyeux fabulgone
Que ta verve soit verte et qu’elle soit polissonne.
Et c’est ainsi que commencèrent les tribulations du fabuliste argotier.
Parmi mes premiers écrits, il y avaient Bic, l’homme des temps farouches qui fit entrer l’homo sapiens dans le monde moderne par ses trouvailles et ses inventions.
J’avais oublié le téléphone. Heureusement Philippe Geluck dont je possède presque tous les albums a pallié à cet oubli. Merci le Chat.
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